En ces temps rudes, je pense que l'écriture pourra apaiser un petit peu tout ça. Je poste la première partie de mon histoire, et si les tomates ne fusent point trop la deuxieme. Je suis en trein d'écrire la trosième et dernière partie. Voilà, bonne lecture
Partie 1: L'histoire de Maximus.
Un jour, une nuit, une semaine, un mois et puis des années, Maximus grandit dans la solitude. A l'âge de quatre ans, il avait vu ses parents s'en aller vers l'au delà, tués par ordre de Cesar. Maximus n'avait jamais su pourquoi, et sa tante qui l'avait recueilli ne lui avait jamais non plus dit la vérité.
C'est ainsi que le jeune orphelin grandit, avec une tante qui se préoccupait plus de ses affaires que celles de son neveu, auquellesl elle accordait une attention très limitée.
Elle ne l'avait jamais vraiment aimé, et la mort de sa soeur avait été un drame non par le décés d'un être de sa famille, mais par le garde obligatoire du fils qu'ils avaient hérité. Etant le dernier membre de sa famille, Maximus avait été contraint d'y aller, ne comprenant pas ce qui c'était passé.
Les années avaient passé, Maximus vivait dans une petite ferme aux abords de Rome, ville qui l'avait tant fait rêvé mais dont il n'avait jamais pu y aller, et avait maintenant sept ans.
L'orphelin adorait cette ferme, et s'amusait souvent avec les animaux qui y régnaient. Le plus de temps possible d'ailleurs, avant que sa tante ne le rappele à l'ordre. Dans ces cas là, Maximus s'isolait dans une clairière souvent illuminé par le soleil, et il attendait... attendait... et attendait encore. Il réfléchissait, ses parents revenaient dans sa tête que par des soudaines images, des visages, des sourires et même des paroles parfois. Mais bien trop flou, et Maximus pleurait à chaudes larmes la perte de ses parents. Il leur en voulait de l'avoir abandonné aux mains de cette immonde femme.
"Quand je serais grand, je quitterais cette ferme et habiterais à Rome" s'était il dit ce jours là, mais il ne se doutait pas encore qu'il n'avait pas à attendre d'être grand...
Les journées se succédaient, Maximus restait à la maison et aidait sa tante pour la moisson. Il semait les grains dans les champs, récoltait le fruit de leur travail ect... évidemment il n'allait pas s'instruire aux temples, pour apprendre les origines des divinités et leur importance. Pour plusieurs raisons d'ailleurs, déjà sa tante comme elle le rappelait si bien n'avait pas envie de faire le voyage jusqu'à Rome pour qu'il apprenne des choses qu'elle considérait comme "inutile" pendant la vie de tout les jours.
Puis, elle relatait sans cesse que ses parents ne voulaient pas qu'il aie au temple pour apprendre toutes ses idioties.
Pourtant Maximus se rappelait très bien de moment passait justement avec ses parents, eux en trein de prier à genou une divinité quelconque, et lui les regardant d'un air incrédule... deçu que l'on jette de la nourriture au pied d'une statue. . Avec un pincement au coeur, il n'osait rien dire à sa tante et pensait juste qu'elle utilisait cette argument auquel elle ajoutait ses parents, pour confirmer le premier.
Mais elle ne voulait pas qu'il y aie par pure feineantise, et ça, Maximus ne le digérait pas.
Un beau matin de Mai, alors que la matinée était fraîche et dont semble-t-il pour Maximus qui avait déjà dix ans, la moisson avait été abondante, il sortit de la grange qui tenait lieu pour lui de chambre et alla dans la salle à manger ou il pensait trouver sa tante. Mais au lieu de ça, il l'a trouva dans une chambre avec un air las, fatiguée, et d'une humeure massacrante.
"Viens voir là, je suis malade donc tu vas faire deux choses...
-Tu es malade ma tante? Répondit Maximus avec une mine trop effrayée pour être convaincante.
-Ne m'interrompt pas! Cracha la tante de Maximus, tu vas aller à Rome dans les bassins de Persephone, tu prendras cette amphore et la remplira.
Puis tu me la raméneras, c'est une antidote sure qui me guérira de la maladie que j'ai attrapé... et...
-Mais qu'avez vous? Coupa Maximus.
-NE M'INTERROMPT PAS J'AI DIT!!!! Hurla telle avec une telle puissante que l'enfant recula de plusieurs pas, ahhh ma tête gémit elle juste après, tu iras pour finir récoltait la moisson, tu laveras toute la récolte! Puis tu mettras la maison en état, nettoieras toute la maison et traira les vaches.
N'oublies pas de faire tout ça. Maintenant vas à Rome, tu feras le reste à ton retour."
Maximus n'en revint pas, sa tante lui demandait de faire tout ça alors qu'elle même ne le fesait jamais dans la vie courante.
Elle prenait sa maladie comme pretexte pour se servir de l'enfant.
Une rage intérieur s'alluma dans les entrailles de Maximus, une rage auquel il n'avait jamais connu. Ses yeux avec un éclat de malice, un sourire dément s'agita au coin de ses lèvres.
"Je n'irais pas à Rome", cette pensée fusa dans l'esprit de Maximus. "Je n'irais pas à Rome et vais faire payer le mal que m'a fait cette vieille harpie!".
C'est ainsi que Maximus resta dans la maison, tandis que l'état de sa tante empirait. Elle comprit un jour que son neveu n'était pas aller à Rome, elle hurla avec les faibles forces qui lui restait, et l'insulta de toute manières possibles avant d'ajouter:
"Petit fumier, je t'ai élevé, sans moi tu n'aurais été rien! De la racaille, voilà ce que c'était tes parents, bon pour les lions! J'ai bien fait de les dénoncer, c'est grâce à moi qu'ils sont morts!!" Une lueure démente s'agitait sur le visage de la tante de Maximus, remplis de convulsion.
L'orphelin assimila tout ce qu'elle venait de dire, la mort de ses parents étaient à cause d'elle. D'un ton très calme, il sortit de la chambre et en revint avec un poignard auguisé.
Sa tante allait mourir, Maximus le savait, mais il voulait en être la cause, "Ce ne sera pas la nature qui l'emportera mais moi" se dit il avec fureur.
Bleme, la tante regarda son neveu avec un air indéfinissable. Entre la frayeur et la folie.
Maximus s'avança vers sa tante qui parlait à toute vitesse:
"Non je 'en supplie ne fais pas ça, mon neveu je t'ai considéré comme mon fils, tes parents...
-NE PARLES PLUS DE MES PARENTS!!!!! Gronda-t-il. Toute façon, tu n'as plus aucune issue.
Adieu, ma tante."
Il leva son couteau, et...
(Fin de la première partie)